Un drame ça se cramponne, ça obstrue vos pensées jusqu’à devenir une mémoire pour plus tard. Et puis, un drame se transmet sournoisement aux générations à venir !

Bon sang comme j’aimerais m’en débarrasser. Comme j’aimerais ne plus y penser ! me suis-je dit pendant des années.

Impossible ! Un drame ça s’accroche, ça rend moche, ça détruit jusquà ce qu’on se dise : C’est bon j’ai compris. Maintenant je fais quoi ?

Ben maintenant, je fais face. Je suis prête à le traversir, à le rendre “beau” dans mon souvenir pour qu’il s’apaise et m’apaise.

Oui, cette fois j’étais prête !

Rien n’a été facile c’est vrai, mais petit à petit j’ai lâché prise, j’ai modifié le souvenir qu’i“IL” fm’avait laissé. Puis un jour, j’ai posé l’amour à la place du drame. “IL” n’a pas rechigné, il s’est retiré.

L’histoire de Mara, avec tout ce qu’elle transporte fait partie de son héritage émotionnel.

Ses ancêtres l’ayant fait fructifier tour à tour, il arriva jusqu’à elle, riche en émotions dévastatrices. Emotions qu’elle-même a enrichies de ses propres variantes avant de comprendre qu’elles répondaient à un mode de fonctionnement négatif. D’où l’urgence d’en suspendre les cycles répétitifs.

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