4ème de couverture : L’anorexie, quelle sale maladie ! Dramatique pour la/le malade dont la vie devient un combat permanent. Elle ne l’est pas moins pour la famille désarmée !
L’ado pouvait rester des heures devant le frigo, les placards, sans doute avec l’envie de manger quelques chose. Mais l’Ano finissait toujours par gagner ! L’aliment consistant certainement convoité, se transformait en deux tomates cerises et trois grains de raisin les jours de fêtes.